mardi 30 août 2011
Lu ce matin sur les agricultrices... L'amour est donc dont le pré, pour certaines!
En 2009, selon une étude de la mutuelle MSA, seuls 25% des agriculteurs à la tête de leur exploitation étaient des femmes.
Et celles-ci ont moins de mal pour trouver l'âme sœur, 77% sont mariées ou en couple contre 54% des hommes.
lundi 29 août 2011
dimanche 28 août 2011
C'est la célébration du mariage qui me met dans cet état...!
Te quiero de Yannick Noah
J'ai manqué d'élégance
en disant simplement
l'importance des sens
dans mes sentiments
manquer de bienséance
en parlant de ta peau
j'ai frôlé l'indescence
en murmurant ces mots
le cœur à ses raisons
que la raison ignore
le corps à ses passions
qui rendent tout plus fort
Te quiero te quiero de mon cœur à mon corps
Te quiero c'est je t'aime juste un peu plus fort
Te quiero te quiero de mon cœur à mon corps
c'est je t'aime mais juste un peu plus fort.
si belle intelligence
c'est d'une autre magie
à laquelle je pense
un terme un peu plus beau
pour parler de tendresse
te quiero est un mot
si gorgé de promesse
Notre cœur à ses raisons
que la raison ignore
Notre corps à ses passions
qui rendent tout plus fort
Te quiero te quiero de mon cœur à mon corps
Te quiero c'est je t'aime juste un peu plus fort
Te quiero te quiero de mon cœur à mon corps
c'est je t'aime mais juste un peu plus fort.
En vidéo ICI
samedi 27 août 2011
Et le tourbillon de la vie...amélioré!
Vous vous êtes connus, vous vous êtes reconnus.
Vous vous êtes perdus de vue, Vous vous êtes reperdus de vue
Vous vous êtes retrouvés, Vous vous êtes séparés.
Dans le tourbillon de la vie.
Vous avez continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis vous vous êtes réchauffés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Et … vous vous êtes revus un soir ah là là
Elle est retombée dans tes bras.
Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?
Alors tous deux vous êtes repartis
Dans le tourbillon de la vie
Vous avez continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Une journée comme çà, c'est la vie!
vendredi 26 août 2011
Sale temps pour les rencontres citoyennes!
N'en déplaise à certains!!!
jeudi 25 août 2011
mercredi 24 août 2011
Les pétroleuses de la Commune
Série[Bandes à part]. Tout l’été «Libération» baguenaude dans des groupes à la marge. Aujourd’hui, les femmes qui ont participé à l’insurrection de 1871.
Par EMMANUÈLE PEYRET
Des pochtronnes, des mégères, des pétroleuses incendiaires, des femmes débraillées, sales, rougeaudes ou, hérésie suprême, des femmes en uniforme. Ainsi paraissent les communardes (10 000 selon Louise Michel, la plus célèbre d’entre elles) dans la belle série de lithographies des Communeux de Paris réalisée à chaud à l’été 1871 par Bertall, caricaturiste mondain du Second Empire. Cette typologie qui vaque de la combattante exaltée à la fille de petite vertu, restera fixée dans la mémoire collective.
Bertall ne fut pas le seul à épingler les communardes. Dans pratiquement tous les journaux et les chroniques qui suivent la révolution parisienne du printemps 1871, la «fille» de la Commune est présentée comme l’antifemme du XIXe siècle (ni bonne mère ni bonne épouse), une hystérique qui boit et qui fume. On les traite de «femelles», de «louves», de «mégères», de «soiffardes», de «pillardes», de «buveuses de sang». Se pliant à l’idéologie déjà en vogue des antécédents viciés, il est répété à longueur de profil psychologique que ces vilaines femmes sont censées se distinguer dès l’enfance par leurs «mauvais instincts», leur «conduite immorale», leur «détestable réputation». On traite les plus intellectuelles d’entre elles, dont Louise Michel, de «laideronnes furibondes» ou d’«institutrices déclassées».
«Mégères, ivrognes, prostituées»
«Alexandre Dumas résume à lui seul la misogynie des écrivains de l’époque», souligne Catherine Tambrun directrice du fonds d’archives photos au musée Carnavalet et auteur d’une conférence sur les femmes de la Commune à travers la photographie. Avec des formules comme «quintessence de l’obscénité», «hystérie», «cruauté», «ivrognerie», Dumas dresse un portrait qui, à vrai dire, parle plus de lui que d’elles, et les achève en les traitant de «femelles, par respect pour ces femmes à qui elles ressemblent quand elles sont mortes». Chignons incendiaires, sphères à venin, elles sont «les sorcières de l’époque», poursuit Catherine Tambrun.
Aux ruines réelles des monuments parisiens, photographiées et utilisées comme repoussoir au message révolutionnaire et social de la Commune, répond «l’imagerie anticommunarde qui a délibérément occulté l’action politique des grandes figures féminines de la Commune, de même que le travail humanitaire des nombreuses ambulancières derrière les figures caricaturales de la mégère, de la cantinière, de l’ivrogne et de la prostituée», explique Pierre Casselle, directeur de la bibliothèque de l’Hôtel de Ville et commissaire de l’exposition «la Commune, 1871, Paris capitale insurgée» qui a eu lieu cette année.
A leur procès, retranscrit en feuilletons (été et automne 1871) pour des lecteurs conservateurs soulagés par la chute de la Commune, la façon dont elles sont décrites est fascinante : dépenaillées, peu soignées, l’insolence dans les yeux. «Les comptes rendus mis en scène décrivent les prévenues communardes, la plupart accusées d’incendies, sous des traits devant provoquer l’indignation et la répulsion plutôt que la pitié», poursuit Pierre Casselle.
Devant leurs juges versaillais, les femmes ou filles Rétiffe, Marchais, Bocquin, Suétens, Papavoine, se présentent, dixit les commentateurs, le nez retroussé, l’œil vicieux, affublées d’une tête de fouine, coiffées de rubans et de cheveux sales, et le visage ravagé par la débauche. Face à leur aplomb, tirés, eux à quatre épingles, «les honnêtes témoins à charge, concierges ou cuisinières appartenant également au petit peuple de Paris, ne peuvent se retenir de fondre en larmes», cite Pierre Casselle. Selon le rapport du général Félix-Antoine Appert sur l’insurrection de 1871, (rapport fait en 1875), on dénombre sur le millier de femmes arrêtées (ambulancières, cantinières, «autres»), 620 non-lieux, 67 acquittements, 8 condamnations à mort commuées (l’époque a du mal à guillotiner les femmes), une trentaine de déportées, 20 condamnations aux travaux forcés, une petite centaine de peines de prison dont 60 d’environ un an. On compte, côté communards, à peu près 20 000 morts, sans savoir exactement la part des femmes.
Très souvent accusées d’avoir participé aux grands incendies qui ont ravagé la capitale, on les appelle les «Pétroleuses» (procès de septembre 1871), l’imaginaire collectif se persuadant d’avoir vu ces femmes (Louise Michel en «chef incendiaire» et en tête) armées de pot de pétrole et mettant le feu partout. Le tout allant souvent avec des accusations de prostitution et d’avoir «bu et couché pêle-mêle avec des hommes», comme on le reproche à la femme Papavoine. Des Pétroleuses ? Aucun tribunal n’a jamais réussi à en donner une preuve. Marx, cite Catherine Tambrun, écrit : «Cette histoire est l’une des plus abominables machinations qu’on ait jamais inventées dans un pays civilisé.»
Premiers mouvements féminins de masse
Elles payent, outre leur participation très active aux combats de rue contre un gouvernement couché devant les Prussiens, leur liberté de réunion, leurs clubs et unions de femmes, fondés pendant la Commune. Parmi les plus connus, l’Union de vigilance des citoyennes du XVIIIe arrondissement parisien, avec Louise Michel, ou l’Union des femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés d’Elisabeth Dmitrieff, aristocrate russe, et de Nathalie Lemel, ouvrière relieuse. On peut les considérer comme les premiers mouvements féminins de masse, selon Annie Metz, conservatrice en chef de la bibliothèque qui porte le nom de Marguerite Durand, l’une des grandes féministes du XIXe siècle, qui accueillit pas mal d’anciennes communardes dans son journal de femmes, la Fronde. «Les femmes sont beaucoup plus sur le terrain qu’à la Révolution française où elles sont renvoyées dans leurs foyers.» Pendant la Commune, très engagées dans la lutte politique, «elles sont très actives, organisent les secours et les soins, créent des commissions pour épouses de travailleurs, exigent l’enseignement pour femmes, créent des écoles considérées comme extrémistes», poursuit Annie Metz. Nombreuses sont celles, blanchisseuses, ouvrières, qui se sont jetées dans l’insurrection pour des raisons économiques, vivant dans des conditions misérables avec des salaires de moitié inférieurs à ceux des hommes. Parmi leurs revendications reviennent sans cesse le droit au travail et l’égalité des salaires. La Commune elle-même reconnaît l’union libre, abolit toute forme d’exploitation. Les femmes de la Commune réclament en plus l’abolition de toute inégalité entre les sexes.
Au sein même du mouvement communard, tient à préciser Catherine Tambrun, «elles peinent à se faire accepter : les infirmières du XVIIe arrondissement ne trouvent personne qui les accepte : les hommes gradés n’en veulent pas». Egalitaires, elles le seront jusqu’au bout, jusqu’à leurs condamnations où elles seront nombreuses à exiger la peine de mort comme pour leurs camarades masculins, ou à refuser toute forme d’adoucissement de leur peine, comme la jolie veuve Leroy, condamnée à la déportation sans enfermement et qui demandera à être internée avec ses camarades d’exil. On peut comprendre que ce courage-là ait pu exaspérer un XIXe siècle exemplairement répressif envers les femmes. «Quelle utopie, l’émancipation de la femme», disait un commentateur de l’époque.
L'article ICI
mardi 23 août 2011
Contribution sur le schéma Climat, Air, Energie du Languedoc Roussillon
http://www.languedoc-
(document « SREolien-oct2010 )
Le public (acteurs socio-économiques, associations, élus …) est invité à réagir par écrit (avis - critiques ...) à la version en ligne de ce schéma éolien.
Vos contributions sont à adresser par écrit à la DREAL ( adresse : 520 Allée Henri II de Montmorency, CS 69007, 34064 Montpellier cedex) ou au Conseil Régional ( adresse : Hôtel de Région, 201 Avenue de la Pompignanne, 34064 Montpellier cedex) d'ici début septembre.
lundi 22 août 2011
Clins d'oeil aux médisants... Et il y en a!!!
2/ Il paraît qu'on ne me voit pas beaucoup?!
3/ Je suis juste là pour faire potiche et ce sont les autres (hommes si possible) qui décident de tout à la Mairie...
4/ Le travail en commission, cela ne sert à rien. Autant décider tout(e) seul(e) dans son bureau!
Voici quelques petites phrases entendues par ci, par là! De quoi passer un bon moment... de rigolade!
samedi 20 août 2011
vendredi 19 août 2011
jeudi 18 août 2011
Quand l'intolérance règne...
Pourquoi regarder les autres pour les critiquer après? Pourquoi ne pas accepter que tout le monde n'ait pas le même mode de vie?
Pourquoi ne pas gérer sa propre vie avant de vouloir gérer celle des autres?
Quand l'intolérance règne, la société va mal.
mercredi 17 août 2011
Où l'on parle de crise...
Eva Joly : "Notre crise n'est pas que financière, mais aussi écologique et sociale"
Eva Joly fait sa rentrée politique, jeudi 18 août, aux journées d'été d'Europe Ecologie-Les Verts à Clermont-Ferrand. La candidate investie lors de la primaire des écologistes réunira son équipe pour un séminaire de campagne. Dopée par le score obtenu (58,2 %) face à Nicolas Hulot lors de la primaire, Mme Joly veut faire entendre sa voix sur la crise. Et développer son nouveau slogan du "changement juste".
Que pensez-vous des mesures d'austérité annoncées par Nicolas Sarkozy pour faire face à la crise économique ?
Lorsque j'entends Nicolas Sarkozy dire : "Je suis l'homme qui va vous sortir de la crise", cela me met en colère. Il est l'un des acteurs dont l'inaction et les décisions prises depuis son arrivée au pouvoir nous ont enfoncés dans la crise. Il est l'homme du bouclier fiscal et du chèque de 30 millions d'euros donné à Liliane Bettencourt. Il est aussi celui qui a instauré de nouvelles niches fiscales, l'exonération des heures supplémentaires ou encore la réduction de la TVA dans la restauration. Il a augmenté les mesures d'exonération juteuses bénéficiant aux multinationales, qui ont représenté 172 milliards d'euros en 2009. Encore récemment, il a aggravé le déficit de 2 milliards en accordant de nouveaux allégements sur l'ISF. Autant de décisions qui ont ainsi privé l'Etat de ressources essentielles et nous empêchent de sortir de la crise ! Avec Angela Merkel, ils ont proposé, mardi 16 août, un plan d'austérité généralisée à l'échelle européenne, alors que c'est d'une véritable solidarité en mutualisant les dettes dont on a besoin.
Etes-vous opposée à un plan d'austérité visant à réduire les déficits publics ?
Vouloir ne pas laisser filer les déficits est une intention louable. Mais un plan d'austérité pour tendre, coûte que coûte, et dans l'immédiat, vers un déficit de moins de 3 %, dans ce contexte de crise économique et écologique à fiscalité constante, est une erreur. Nicolas Sarkozy voudrait que l'austérité soit supportée par les plus vulnérables et n'a pas le courage de dire que la solution, pour un budget à l'équilibre, c'est l'augmentation des impôts et une réforme fiscale.
Vous êtes donc contre le vote qui doit inscrire la "règle d'or" dans la Constitution.
Bien sûr ! C'est absurde et injuste de fixer à l'horizon 2013 l'échéance pour parvenir à cet effort. On ne peut pas gouverner s'il n'y a pas de marge de manoeuvre.
Comment feriez-vous pour tenir ces deux caps ?
Je commencerais par sanctuariser le service public en arrêtant cette règle stupide du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux. Je supprimerais les niches, qui sont des privilèges pour augmenter la base fiscale, et lancerais une véritable lutte contre les paradis fiscaux et la fraude fiscale, qui représentent environ 40 milliards d'euros par an.
Moi, je dis clairement que j'augmenterais les impôts. Mais cette hausse ne concernerait que, de façon progressive, les 15 % des plus aisés d'entre nous et, plus énergiquement, 5 % des plus riches. Je préconise aussi une augmentation des impôts sur les revenus du capital comme sur les transactions financières. De plus, les établissements financiers qui sont à l'origine de la crise de 2008 devront contribuer : toute distribution de dividendes et de bonus sera fortement taxée. Je voudrais également proposer à l'Union européenne de procéder à un audit indépendant de l'endettement public des Etats membres. Cela permettrait de mettre en évidence qui paye des impôts et quels sont les montants alloués à des industries qui ont délocalisé.
Mais peut-on continuer à tenir un discours de reconversion écologique de l'économie dans un tel contexte de crise ?
Oui, parce que la crise n'explique qu'un quart de notre dette. C'est donc l'insuffisance de recettes, et ce depuis très longtemps, qui a constitué notre endettement. Si nous revenions au niveau d'imposition de 2000, avant la décision de Laurent Fabius de réduire les impôts, comme le voulait le dogme néolibéral, notre déficit serait tout à fait supportable.
Nous sommes à la fin d'un système et il est urgent d'enclencher cette reconversion. Environ 50 milliards sont nécessaires annuellement. Nous y parviendrons par des arbitrages budgétaires différents, avec, par un exemple, la suppression des niches anti-écolos ou des crédits qui servent à maintenir l'armement nucléaire. Chacun comprend que l'Etat ne va pas financer la rénovation thermique des villas de Neuilly-sur-Seine. Je veux créer un livret d'épargne verte pour flécher l'épargne des Français vers le financement de la reconversion écologique plutôt que de laisser les banques libres de spéculer avec ces fonds.
Votre exigence est-elle compatible avec ce que préconisent les socialistes, très soucieux de rigueur budgétaire ? Si nous voulons envisager un pacte de gouvernement en 2012, il faut que nous soyons d'accord sur la façon d'obtenir des marges de manoeuvre. Sans elles, on ne peut rien entreprendre. Ma ligne de conduite est que l'imposition des revenus du capital doit être égale à celle des revenus du travail. En commençant par les niches fiscales. C'est une règle fondamentale sur laquelle je pense parvenir à un accord avec le ou la candidate des socialistes.
Continuez-vous à vouloir apparaître comme la candidate anticorruption ? Depuis plus de dix ans, je n'ai cessé de dénoncer la financiarisation de l'économie et les paradis fiscaux. Le moment est venu de dire aux citoyens que le système n'est pas nécessairement ainsi et que le politique doit reprendre le pouvoir. Qu'il faut revenir à quelque chose de plus raisonnable où nous arrêtons de prendre des risques illimités, que cela soit dans le système financier comme dans le nucléaire. Il est temps de faire le choix de l'écologie politique.
Quel est votre mot d'ordre en cette rentrée ? C'est le changement juste. Notre crise n'est pas que financière mais aussi écologique et sociale, comme le montre la famine dans la Corne de l'Afrique ou les manifestations en Israël. Il faut donc agir sur ces trois volets. Il est essentiel d'insister dans cette campagne sur la justice, la dignité et la reconnaissance de l'autre pour contrer les discours sécuritaires, de repli et de haine.
Faites-vous allusion aux attaques du FN et de l'UMP contre votre double nationalité ?
J'ai trouvé ces propos xénophobes. Quand j'entends François Fillon contester mon aptitude à être française, je me dis qu'il est un ventriloque de Marine Le Pen. Ces attaques ont l'avantage de mettre en évidence combien la conception de la nationalité de l'UMP ou du FN est en décalage avec la composition et la réalité de notre société. Défendre l'idée d'une société ouverte et solidaire, ce sera l'un des axes de ma campagne.
Nicolas Hulot vient d'annoncer qu'il ne se rendra pas aux journées d'été d'Europe Ecologie. Cela peut-il vous affaiblir ? Il faut respecter sa décision. Je note qu'il déclare vouloir prendre "une distance bienveillante" à l'égard du parti. Nicolas peut venir quand il sentira que c'est le moment. J'espère bien que la richesse de ses idées et de son talent pourra enrichir la campagne. Je suis confiante.
Propos recueillis par Sylvia Zappimardi 16 août 2011
samedi 13 août 2011
Le festival de la Céramique a débuté...
"Au départ de la céramique et de la poterie, il y a la terre et l'eau. La terre et l'eau sont aussi deux des liens de la Communauté de Communes Autour d'Anduze (2c2a).
La terre c'est la terre des agriculteurs, des viticulteurs, des forêts, des artisans potiers et céramistes. C'est aussi la terre de nos ancêtres, la terre de naissance, la terre d'adoption et surtout depuis les guerres de religion la terre de refuge. L'eau c'est le Gardon qui en ce moment coule tranquillement, l'eau ressource indispensable à la vie, l'eau ingrédient indispensable aux potiers et céramistes.
Comment avec tous ses points communs la 2c2a n'aurait pu être partenaire d'une si belle et riche manifestation qu'est ce festival de la Céramique?
Autre point commun, le feu! Je laisse chacun insérer cet élément où celui lui plaît...!
Avec le spectacle de lundi soir, encore un peu de publicité, ce festival va clore une très belle année de la poterie. Ce festival est toujours de plus en plus novateur, inédit, divers tout en étant rassembleur! Ceci n'est possible que grâce à des bénévoles, des personnes ressources, des amis. Tout cela n'est possible que par des soutiens financiers, techniques et moraux. Je pense là aux familles des bénévoles qui acceptent beaucoup de compromis pour la mise en place de cet événement!
Cela s'appelle une équipe. Tout évènement ne peut connaître une renommée comme celle de ce festival que grâce à cet état d'esprit et à ce dynamisme associatif. Cela est la grande richesse du monde associatif, richesse qu'il faut préserver, accompagner et soutenir dès que c'est possible et en particulier de la part des collectivités territoriales.
Ce festival est le croisement de nombreuses compétences de la 2c2a (tourisme, économie, culture, environnement, communication et développement local) avec un objectif, celui de rendre célèbre la commune d'Anduze et plus largement l'ensemble de notre intercommunalité.
Merci donc à l'association Planète Terre, à ses dirigeants, à ses bénévoles et à ses amis et merci plus largement à tout ce qui ont contribué à ce que cette manifestation perdure et se développe."
vendredi 12 août 2011
Entendu à la radio ce matin...
jeudi 11 août 2011
mercredi 10 août 2011
Facebook pour la Mairie de Massillargues-Atuech...
Vous n'avez qu'à rechercher "Mairie de Massillargues-Atuech" et l'ajouter comme amie!!
mardi 9 août 2011
lundi 8 août 2011
Retenez bien, les 26, 27 et 28 août 2011...
dimanche 7 août 2011
samedi 6 août 2011
vendredi 5 août 2011
Joyeux anniversaire!
jeudi 4 août 2011
Pourquoi ne pas tout dire?
Pourquoi, pourquoi, pourquoi? Juste pour faire vendre plus de papier
Pourquoi, pourquoi, pourquoi? Juste pour mettre plus de tension sur un territoire qui n'en a pas besoin.
mercredi 3 août 2011
Une victoire de plus! Un jour ou l'autre, il faudra tenir compte de ces votes et de ces résultats!!!
16 rejettent le SDCI
13 approuvent le SDCI
Cela réconforte après les résultats de l'enquête!
mardi 2 août 2011
lundi 1 août 2011
Les résultats de l'enquête...
7405 questionnaires envoyés
7012 distribués
3420 retournés par enveloppe T ce qui représente 48.75%
3394 bulletins exprimés
593 bulletins "Oui au Schéma" soit 17.47%
2801 bulletins "Non au Schéma" soit 82.52%
Pour Massillargues-Atuech, attention, tenez-vous bien!
55.24% de participation
8.97% de bulletins "Oui au schéma"
91.03% de bulletins "Non au Schéma"
Qui est ce qui disait que la votations citoyenne ne signifiait rien?!!!
Ce soir, Générargues, à l'unanimité a rejeté le schéma et Ribaute Les tavernes aussi à 9 voix non, 6 pour le oui et 2 blancs!!! Pour Tornac, je ne sais pas encore!